Dead Island : quand il n’y a plus de place en enfer, les morts reviennent sur Terre.
Difficile de ne pas avoir appréhendé de près ou de loin la série Dead Island, si tant est que l’on aime les jeux vidéo, les films d’horreur et les FPS. Si vous ne connaissez pas encore ces jeux, et que vous souhaitez vous pencher dessus, nous vous invitons à consulter notre test de Dead Island Definitive Collection (une compilation qui vous offrira des heures et des heures de plaisir et de frisson) pour vous faire un avis sur le programme proposé.
Les Dead Island sont distribués par Deep Silver, un poids lourd du marché vidéo-ludique, et qui possède une branche essentiellement dédiée au mobile (mais pas que), Deep Silver FISHLABS ; c’est à cette dernière que l’on doit le titre qui nous concerne aujourd’hui : Dead Island: Survivors. Mais également les excellents Galaxy on Fire.
Dead Island: Survivors vient tout juste d’être lancé en soft-launch (donc, dans un pays défini, histoire de recueillir le ressenti des joueurs avant la sortie mondiale) en Norvège. Aucune indication quant à une parution planétaire n’est offerte, même si généralement, le délai s’avère assez court, sauf en cas de gros bugs à corriger.
Le jeu délaisse le style FPS de ses ancêtres pour adopter un gameplay en deux temps : l’édification de pièges, tourelles et autres éléments classiques du genre tower-defense, afin de maintenir au mieux les hordes de morts-vivants au loin, et le combat pur et dur nécessaire lorsque les lignes de défense sont franchies malgré les obstacles. Il semble se rapprocher du système de jeu bien pratique sur tactile, consistant à désigner un adversaire, ce qui fera attaquer automatiquement votre personnage, une méthode éprouvée moult fois, et souvent avec succès.
Notez qu’un aspect coopératif sera de mise, impliquant une connexion constante, probablement.
Alors, en attendant la seconde partie de saison de The Walking Dead (la série), pourquoi ne pas s’adonner soi-même au survivalisme zombiesque ? On en reparlera quand le jeu sortira, sur iOS et Android, on ne sait encore quand…
